Dean Lomax (Université de Bristol), auteur de l’article scientifique publié ce 17 avril, précise que des preuves supplémentaires sont nécessaires, pour pouvoir confirmer la taille exacte des spécimens.
La numérisation de ces trouvailles servira à faciliter les recherches scientifiques, identifier plus facilement les zones de fragilisation potentielle et imprimer le cas échéant des prothèses en 3D.