La colère des indépendantistes, provoquée par une réforme du corps électoral de l’archipel du Pacifique sud, a enclenché un cycle de violences marquées par des jours et des nuits d’incendies, d’affrontements et de barrages.
Vendredi, le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé l’annulation du passage de la flamme dans l’archipel lors d’une réunion avec des parlementaires à Matignon, selon des sources concordantes.