Le gardien a détourné un penalty contre le RWDM.
Mathieu Belezi: «Je ne cherche pas à culpabiliser qui que ce soit, je veux simplement qu’on n’enterre pas cette période,»
Dans un stade qui lui appartient, Roland Duchâtelet assiste encore régulièrement aux matches de Saint-Trond.
« Il faut soutenir l’Ukraine, non pas seulement parce que c’est un pays agressé, mais aussi parce que c’est un pays qui a vocation à entrer dans l’UE et qui défend la démocratie », dit François Hollande.
Luis Vazquez et Nilson Angulo, un duo très proche.
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Massimo Bruno et Thorgan Hazard ont évolué ensemble chez les Espoirs belges.
« Une société avec des esclaves, des enfants au travail, des camps de concentration comme ceux des Ouïghours en Chine, du travail forcé dans les usines ou les prisons pour copier à toute vitesse ce qui sort des défilés ? Non, désolée, je n’en ai pas envie. »
Makhtar Gueye veut renouer avec la sensation du buteur.
« A l’école, j’étais très lente, je ne comprenais pas. J’avais un vrai complexe. Je me sentais nulle. Tout était très périlleux pour moi. Mais je n’étais pas une rebelle. »
Gérard Mourou dans son centre de recherche à Măgurele, en Roumanie. « Les lasers femtoseconde pour lesquels nous avons reçu le prix Nobel, avec Donna Strickland, ont immédiatement été utilisés en médecine pour les opérations de correction de la vue. »
« Nos parents n’avaient aucune arme sur des enfants qui déconnent et qui sortent la nuit. Ils n’avaient pas le vécu pour ça. Moi, je l’ai, ce vécu. »
Gaëtan Devos : « L’offre de jeux est trop importante en Belgique »
« À la fin du « Dictateur » de Chaplin, les personnages arrivent à s’enfuir et ils fuient vers… la Pologne. Ça m’a fortement marqué et ça me travaille toujours. »
Louise van den Heuvel et ses comparses, Hendrik Lasure, Sam Comerford, Daniel Jonkers.
Le défenseur arrive en fin de contrat à l’Antwerp.
Au centre du film, un père – Takumi – qui vit avec sa fille Hana (l’actrice Ryo Nishikawa, photo) dans le petit village de Mizubiki, proche de Tokyo.
Un flemmard de qualité, ce Peet ! L’expression est de lui… « Je ne me réveille pas tous les jours en me disant qu’il faut faire de la musique », nous confie-t-il. « Si c’était le cas, je ne sortirais peut-être pas plus d’albums mais j’aurais un plus large répertoire de morceaux parmi lesquels choisir à la fin d’un cycle. »
« La violence, parfois, c’est quelque chose qui te construit énormément. C’est important d’être en colère. »
« L’Occident apparaît encore comme un domaine du possible, de la liberté. […] Si l’Occident perd cette puissance d’attraction, il disparaîtra », explique Slimane Zeghidour.